Arbre, Art, Environnement

Le projet : une Fondation de l’Arbre, de l’Art et de l’Environnement, en France

Après 20 années passées à voyager autour du monde, à ouvrir l’œil et à photographier arbres, paysages, scènes de le nature, à aiguiser mon regard et ma réflexion sur notre environnement et sur l’humanité et son devenir ; à observer comment on protège les arbres au Japon, en Chine, en Inde, aux Etats-Unis, en Allemagne, et comment, en France, les arbres recensés par les associations locales, départementales, qu’ils soient remarquables, vénérables, historiques, ne sont, hélas, ni protégés ni respectés, je souhaite créer une Fondation de l’Arbre, de l’Art et de l’Environnement qui plantera les graines du futur avec l’aide des « Ami(e)s des arbres » ; deviendront « Ami(e)s des Arbres », toutes personnes souhaitant s’impliquer et aider à planter des graines d’arbres.

Où héberger la Fondation de l’Arbre, de l’Art et de l’Environnement ?
Comme mes racines sont en majeure partie périgourdines, j’ai pensé au Périgord, au titre de la « mise en valeur du patrimoine naturel et culturel de l’Aquitaine ».

De plus les sites de la Vallée de la Vézère sont inscrits au Patrimoine Mondial de l’UNESCO, nous pourrions ainsi faire le lien entre l’Appel des Arbres Vénérables et la Vézère. Des expositions pédagogiques y seraient créées et des plantations d’arbres réalisées avec les écoles, les municipalités, etc.

Si vous avez d’autres idées ou propositions, j’aimerais, si vous le souhaitez, évidemment,  que vous m’en fassiez part.
Les objectifs de la fondation :

  • Racheter des arbres historiques, vénérables et des terrains qui pourraient être en danger, en Périgord comme dans toute la France.
  • Aboutir au classement des Arbres Vénérables en tant que Patrimoines Naturels Mondiaux et Monuments Naturels et Culturels Nationaux.
  • Mettre en place des plantations d’arbres avec les écoles, les municipalités, les entreprises sur le domaine public comme dans les jardins privés,
  • Faire prendre conscience aux gens et planteurs que ces jeunes arbres seront aussi des « puits de carbone » comme le sont déjà depuis des siècles, les arbres Vénérables et forêts du monde et donc des acteurs de la lutte contre le réchauffement climatique.
  • Aider les propriétaires à protéger leurs arbres avec une équipe d’avocats et juristes.
  • Organiser des festivités pour créer une sensibilité environnementale.
  • Soutenir les artistes travaillant sur le thème de l’environnement en leur achetant des œuvres (sélection sur dossier). En contre partie, ces artistes participeront à la vie pérenne de cette fondation. Ils pourront aussi devenir des parrains et marraines pour la fondation.
  • Faire participer activement à la vie de la fondation et à ses projets les employé(e)s des entreprises ou/et des collectivités-mécènes de la fondation. Les employés et leur entreprise deviendront « les Amis des Arbres ».
  • Accepter toute personne le souhaitant et sans discrimination, comme membre de cette fondation.

Mes projets en cours et à venir

Redynamiser l’association Mathusalem Dordogne et l’accompagner dans son renouveau. Lui trouver un (nouveau) lieu de vie, où des arbres pourront être plantés avec le soutien des écoles, des municipalités. Créer et réaliser son site internet, étape incontournable à son développement. L’association aura aussi besoin d’un équipement informatique, d’une adresse électronique dédiée, d’un téléphone et une boite postale dans une maison des associations. A moins qu’une personne privée ou collectivité ne lui lègue un terrain et une maison à restaurer pour héberger l’association et ses activités. Dans ce cas, des chantiers écoles pourraient être entrepris pour la restauration de cette maison et la plantation d’arbres. Des programmes pédagogiques pourront alors y être élaborés et mis en place.

  • A partir du recensement des arbres historiques de la liberté effectué par Mathusalem Dordogne en 1989 :
  • Chercher ce que sont devenus tous ces arbres ? Lesquels ont résisté aux tempêtes de 1999 et 2009 ?
  • Convaincre le Conseil Départemental et les municipalités déjà partisans de promouvoir le patrimoine exceptionnel de notre région, d’œuvrer à la protection active de tous les arbres historiques et leurs descendants.
  • Créer, 20 ans après, un beau livre des 200 plus anciens arbres du Périgord, en collaboration avec les écrivains locaux, dessinateurs, peintres, illustrateurs et vidéastes du Périgord et le soutien des municipalités, collectivités et professionnels du bois et de la forêt. Des interviews-portraits des propriétaires des arbres pourraient même être intégrés au livre.

Tous les projets exprimés participent à :
1 : Une préoccupation patrimoniale
Les arbres vénérables sont des monuments végétaux et historiques, l’association Mathusalem Dordogne a fait un remarquable travail de recensement, il y a 20 ans déjà ! Il est temps, aujourd’hui et pour l’avenir de se préoccuper d’eux, en tant que patrimoine touristique et économique régional et mondial.
2 : Une préoccupation économique
Puisque la Dordogne souhaite faire progresser le tourisme jusqu’à 1 milliards d’€ au début la prochaine décennie. La croissance doit passer par la valorisation de nouveaux produits. Les arbres vénérables en font naturellement partie.
3 : Une préoccupation internationale
Puisque la Dordogne souhaite accroître la notoriété et la visibilité du Périgord et celle de l’Aquitaine  dans le monde, à travers l’itinérance intercontinentale, une exposition « Arbres du Périgord, Témoins vivants du passé » pourrait venir compléter l’exposition déjà existante « Arbres vénérables ». Nous pourrions créer une exposition « portraits de Périgourdins, portraits d’Arbres Périgourdins ».
4 : Une préoccupation éducative
Les monuments végétaux que sont les arbres vénérables, trésors vivants, ne nous appartiennent pas, ils font partie de notre patrimoine et à plus grande échelle du patrimoine de l’humanité. A ce titre, il faut les faire partager au plus grand nombre. Car la vulgarisation de la préhistoire et de l’histoire des arbres, du bois, … , c’est l’enseignement des origines de l’humanité et de son développement, des débuts de la connaissance, les arbres en ont été les acteurs à plus d’un titre, sans arbres pas d’humanité.
5 : Une préoccupation partenariale
Afin de créer et faire vivre ces projets ambitieux, je dois impérativement nouer un partenariat avec la région et le département. Ensemble, nous pouvons faire naître une coopération basée sur la convergence de nos intérêts.

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